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Ensemble en matière végétale - zwombo
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
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villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
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Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Antilope
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la
tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Armature
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Armature
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Armature
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Armature
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Denda
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Echassier
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la
tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l�initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Echassier
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la
tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Eléphant
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la
tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Fwifwi
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la
tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Girafe
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la
tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Hungu
Hungu, le grand danseur.
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la
tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Kalelua
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Kaluwe
Les Makishi ont pour rôle de représenter un modèle de la vieille société bunda, luvale, lozi et chokwé et de fournir aux jeunes gens qui rejoignent le groupe des adultes, une visualisation codée et dramatique des
enseignements acquis lors de leur retraite initiatique en brousse. On décompte une vingtaine de masques principaux auxquels ne cessent de s'ajouter de nouveaux masques, la tradition demeurant vivante dans les
villages. Les Makishi accompagnent les futurs initiés pendant leur retraite, les terrorisent, les conseillent aussi. Puis, à la fin de l'initiation, ils les escortent pendant leur retour au village, semant la terreur et déclenchant aussi le rire parmi les habitants.
Il y a une dizaine d'années, les costumes, sortes de collants tricotés, ainsi que les masques étaient faits d'un tressage de fines lanières d'écorces. Celles-ci étaient teintes en rouge, blanc et noir, ces couleurs provenant de substances minérales et végétales. Aujourd'hui, les lois concernant la protection de la nature au Zimbabwe, imposent aux villageois l'obligation de s'abstenir d'utiliser les arbres et les plantes. Ainsi les costumes sont désormais fabriqués en coton tricoté. Les masques sont en jute teinte. Les couleurs blanche et noire sont d'origine industrielle. Seule la couleur rouge provient d'un minéral pilé.
Masque Makishi - Kanolo
Kanolo, le pêcheur.