Recherche
18 items
Actes du colloque international 2020
Ce forum de discussion souhaite mettre en lumière les différentes formes que peut prendre le système de reconnaissance et de transmission au sein des Etats participants.
Bissa du Burkina Faso. Musique vocale et instrumentale
1. Divertissement avec Boumpa et Dienguéla
2. Louanges chantées par Ganssa Wandaogo
3. Luth Kondé parr Lalé Yougo
4. Louanges chantées par Yambaki, Gendoré et Lako.
5. Duo de Sanzas Koné
6. Danse Diassa de Garango
7. Chant et luth Kondé
8. Flûte traversière Lontoré
9. Danse Diassa de Gourougou
10. Chant et orchestre de vièles, luth et percussion.
Burkina Faso. Bisa. Gan. Lobi. Mossi.
1. Xylophone ellé et tambour bamban (Lobi)
2. Hagra (Gan)
3. Arc Kankarma (Gan)
4. Xylophone élong (Lobi)
5. Danse Diassa (Bisa)
6. Decem Balgo (Danse Mossi)
7. Chant licencieux (Mossi)
Burkina Faso. Chants des chasseurs du Sahel. Affiche
03-08 novembre 1992
Burkina Faso. Chants des Samogo, chasseurs du Sahel du village de Samorogouan, avec l'ensemble de Massa Konaté. Photos
3-8 novembre 1992
Massa Konaté et Baba Traoré, chant et harpes-luths nyang.
Lakole Amadou Traoré, xylophone bah.
Karfa Traoré et Siaka Traoré, tambours d'aisselle tuway.
Fousseni Traoré et Nouma Diakité, râcleurs ngnue kahka.
Les textes de Massa Konaté sont le plus souvent chantés en langue samo (variante dialectal du Bambara)
-Barka: chant de remerciements et de louanges aux hôtes qui honorent les chasseurs de leur invitation.
-Tolowilila: chant d'invocation aux esprits sollicitant l'autorisation de danser
-Koudobolo: chant en l'honneur des chasseurs qui ont montré du courage et en l'honneur de leurs initiateurs, exécuté pendant la préparation de la grande chasse: siumbosi (en bambara) ou au moment des funérailles de chasseurs: donsosanga.
Donso, qui va tuer le gibier et m'offrir la queue ?
Si tu vas à la chasse, donne-moi la queue,
Si tu tues un animal, donne-moi la queue,
Si tu tues une antilope, donne-moi la queue,
Si tu tues un éléphant, donne-moi la queue,
Fisillier, si tu tues un animal, donne-moi la queue,
Grâce à toi, la peau du buffle est sandales à mes pieds.
Attention Donso, pendant la chasse
Evite les clairières où vivent les génies.
Donso, va dans les champs de haricots
C'est là que broutent les biches grasses
Grâce à toi, la tête de buffle est à ma porte.
-Samagnitigui: chant d'exhortation au courage et énumération des difficultés que rencontrera le chasseur d'éléphant.
Oh ! Il n'est pas facile de combattre celui qui a des défenses.
Oh ! Ils ne sont pas nombreux ceux qui luttent contre celui qui a des défenses.
Certains peuvent tuer des buffles
Mais pas celui qui a des défenses,
Certains peuvent tuer des cobras
Mais pas celui qui a des défenses.
-Nibijoro: chant de conseil et de louange au maître-chasseur.
Si tu crains de t'attaquer aux fauves,
Cours demander conseil à ton maître.
-Donsosanga: chant de funérailles, évocation des chasseurs disparus et de leurs exploits.
Si j'étais Dieu, le Donso serait immortel
Le Donso est mort pour le joueur de vièle
L'espoir des joueurs de vièle et des pauvres s'est éteint
La mort ne tue pas parce que tu es capable
La mort ne tue pas parce que tu as un bel enfant ;
Et si la mort ne frappait pas
A cause de la sagesse ?
A cause de la richesse ?
A cause de la connaissance ?
La mort de Lassina Woulé fait peur.
Elle donne la peur de Dieu.
-Anikongo: chant de salutations aux chasseurs de retour de brousse
Refrain :
Salut aux chasseurs qui reviennent,
Salut aux tueurs de fauves qui rentrent.
Couplet :
Salut aux chasseurs qui luttent contre les fauves,
Salut aux chasseurs tueurs de bêtes,
Le buffle a été tué d'un coup de feu.
Salut au Donso qui a tiré,
Le monstre est mort.
Salut au Donso, au chasseur courageux,
Salut au Donso qui rentre les bras lourds de gibier,
Le village tout entier t'est reconnaissant.
-Nassasso Nassakongo , "Nul ne sait où il périra": chant d'initiation et d'avertissement aux chasseurs préparant une expédition
-Dinani: d'après le nom d'un esprit protecteur auquel est comparé le maître-chasseur
-Dankoro bagnanssa, "La danse des grands": Les bagnanssa ou "grands" sont des chasseurs musiciens. Ce morceau est un chant de louanges et d'exhortation
-Gonitigi tagatoye "Le maître du goni s'en va": goni est le nom bambara de la harpe-luth, chant d'adieu.
Burkina Faso. Chants des Samogo. Chasseurs du Sahel du village de Samorogouan. Spectacle
3-8 novembre 1992
Au Burkina Faso, comme au Mali, il existe des sources de connaissance appelées gwanadugu et wassulu. Les futurs initiés qui entrent dans ces univers culturels et religieux font l'apprentissage de la science, de la musique et de la danse et du donsoya ou l'art de la chasse. Le donsoya consiste en un don de soi-même pour acquérir le courage : "être brave parmi les braves", mais aussi la renommée : "les sages doivent retenir le nom et l'inscrire dans l'histoire du clan".
Le village de Samorogouan où vivent les Samogo ou Samo, chef-lieu du département du même nom, est situé dans l'ouest du pays à une cinquantaine de kilomètres de la frontière malienne. Et c'est vers le mali que le futur chasseur dirige ses pas, en quête d'un maître. Dès qu'il l'a trouvé, il doit le convaincre de se faire admettre dans le petit cercle de ses disciples. Dès leur initiation et jusqu'à leur mort ceux-ci porteront la marque du maître sur leurs vêtements et sous forme de talismans ou de scarifications faciales. Quant aux enfants du maître, ils deviennent automatiquement des initiés et héritent du titre de leur père.
Une fois de retour dans son clan, le chasseur nouvellement initié jouit d'un statut particulier et de privilèges. Il bénéficie en particulier du respect mêlé de crainte que l'on témoigne à tous ceux qui contrôlent des forces surnaturelles.
Bien que récemment islamisés, les Samogo demeurent attachés à de nombreuses valeurs et pratiques animistes, indispensables à la réussite de la chasse.
Si la chasse demeure encore aujourd'hui une des activités essentielles des Samogo ceux-ci sont devenus également des agriculteurs et des éleveurs. Ainsi, aujourd'hui, alors que la tradition de la chasse demeure toujours bien vivante, les thèmes des chants de ces griots-chasseurs également appelés gnanssa ("les grands") se sont élargis à leurs autres activités : travaux des champs, bénédictions pour les récoltes, et renvoient bien sûr à tous les grands événements de la vie sociale, initiations, circoncisions, funérailles.
L'ensemble de Massa Konaté comprend :
-deux nyang, des harpes luths comparables à la kora et équipées de deux plans de cordes parallèles de 3 à 4 cordes chacun. Au sommet du manche est fixé un sistre de fer blanc qui vibre lorsque le musicien joue.
-un xylophone bah, mieux connu en Afrique occidentale sous le nom de "bala" ou "balafon". Il est composé d'un cadre sur lequel sont lacées 20 lames de bois dur. Sous chaque lame est fixé un résonateur en calebasse ou en courge muni d'une petite membrane destinée à déformer le son. Ce principe qui s'apparente au mirliton est d'un usage très fréquent dans toute l'Afrique.
-deux tambours d'aisselle tuway en forme de sablier et dont les deux membranes sont maintenues par un laçage cylindrique de telle manière que lorsque le tambour est placé sous l'aisselle, les pressions du bras sur le laçage permettent de faire varier la hauteur du son. Par commodité, le tambour d'aisselle est généralement battu au moyen d'un maillet courbe.
-deux râcleurs en fer ngnue kahka.
Massa Konaté et Baba Traoré, chant et harpes-luths nyang.
Lakole Amadou Traoré, xylophone bah.
Karfa Traoré et Siaka Traoré, tambours d'aisselle tuway.
Fousseni Traoré et Nouma Diakité, râcleurs ngnue kahka.
Co-réalisation Maison des Cultures du Monde / ODAS AFRICA, avec le soutien du Ministère de la Coopération.
Programme :
Les textes de Massa Konaté sont le plus souvent chantés en langue samo (variante dialectal du Bambara)
-Barka: chant de remerciements et de louanges aux hôtes qui honorent les chasseurs de leur invitation.
-Tolowilila: chant d'invocation aux esprits sollicitant l'autorisation de danser
-Koudobolo: chant en l'honneur des chasseurs qui ont montré du courage et en l'honneur de leurs initiateurs, exécuté pendant la préparation de la grande chasse: siumbosi (en bambara) ou au moment des funérailles de chasseurs: donsosanga.
Donso, qui va tuer le gibier et m'offrir la queue ?
Si tu vas à la chasse, donne-moi la queue,
Si tu tues un animal, donne-moi la queue,
Si tu tues une antilope, donne-moi la queue,
Si tu tues un éléphant, donne-moi la queue,
Fisillier, si tu tues un animal, donne-moi la queue,
Grâce à toi, la peau du buffle est sandales à mes pieds.
Attention Donso, pendant la chasse
Evite les clairières où vivent les génies.
Donso, va dans les champs de haricots
C'est là que broutent les biches grasses
Grâce à toi, la tête de buffle est à ma porte.
-Samagnitigui: chant d'exhortation au courage et énumération des difficultés que rencontrera le chasseur d'éléphant.
Oh ! Il n'est pas facile de combattre celui qui a des défenses.
Oh ! Ils ne sont pas nombreux ceux qui luttent contre celui qui a des défenses.
Certains peuvent tuer des buffles
Mais pas celui qui a des défenses,
Certains peuvent tuer des cobras
Mais pas celui qui a des défenses.
-Nibijoro: chant de conseil et de louange au maître-chasseur.
Si tu crains de t'attaquer aux fauves,
Cours demander conseil à ton maître.
-Donsosanga: chant de funérailles, évocation des chasseurs disparus et de leurs exploits.
Si j'étais Dieu, le Donso serait immortel
Le Donso est mort pour le joueur de vièle
L'espoir des joueurs de vièle et des pauvres s'est éteint
La mort ne tue pas parce que tu es capable
La mort ne tue pas parce que tu as un bel enfant ;
Et si la mort ne frappait pas
A cause de la sagesse ?
A cause de la richesse ?
A cause de la connaissance ?
La mort de Lassina Woulé fait peur.
Elle donne la peur de Dieu.
-Anikongo: chant de salutations aux chasseurs de retour de brousse
Refrain :
Salut aux chasseurs qui reviennent,
Salut aux tueurs de fauves qui rentrent.
Couplet :
Salut aux chasseurs qui luttent contre les fauves,
Salut aux chasseurs tueurs de bêtes,
Le buffle a été tué d'un coup de feu.
Salut au Donso qui a tiré,
Le monstre est mort.
Salut au Donso, au chasseur courageux,
Salut au Donso qui rentre les bras lourds de gibier,
Le village tout entier t'est reconnaissant.
-Nassasso Nassakongo , "Nul ne sait où il périra": chant d'initiation et d'avertissement aux chasseurs préparant une expédition
-Dinani: d'après le nom d'un esprit protecteur auquel est comparé le maître-chasseur
-Dankoro bagnanssa, "La danse des grands": Les bagnanssa ou "grands" sont des chasseurs musiciens. Ce morceau est un chant de louanges et d'exhortation
-Gonitigi tagatoye "Le maître du goni s'en va": goni est le nom bambara de la harpe-luth, chant d'adieu.
Burkina Faso. Chants et balafons polyphoniques. Spectacle
Yé Lassina Coulibaly, musicien traditionnel et compositeur burkinabé, a grandi à l'école de la tradition mandingue.
Fortement marqué par les rites du koré, l’initiation masculine, qui enseigne le rapport à la nature et tout ce qui touche à la destinée humaine, il en respecte les formes musicales qu’il interprète avec son groupe Yan Kadi Faso, aux balafons (grands xylophones), aux djembé (grands tambours-calices), à la cloche, auxquels il ajoute parfois une flûte peule.
Mais plus encore, ses compositions et ses textes font vivre ce patrimoine du «pays des hommes intègres», en l’inscrivant dans les réalités de l'Afrique d'aujourd'hui : la déforestation, la raréfaction de l’eau, le problème de l'emploi et de la formation des jeunes, le mariage forcé, la liberté d’expression, le respect aux personnes âgées, le communautarisme...
Suivant l’adage qui souligne que « la tradition se crée à chaque instant », il introduit, dans les présentations de son groupe, des innovations destinées à interpeller un public local comme international.
Une rare délicatesse caractérise la musique de l’ensemble, qui évoque pourtant souvent les passions et les éléments déchaînés.
Burkina Faso. La voix des Peuls. The voice of the Fulbe.
Doohi (voix d'hommes) et jimi rewbe ("chants de femmes")
1. Doohi et jimi rewbe de Filifili
2. Jimi rewbe de Kouyé
3. Doohi des enfants de Soboullé
4. Démonstration de la technique de doohi
5. Doohi et jimi rewbe de Souboullé
6. Doohi et jimi rewbe de Kouyé
7. Doohi et jimi rewbe de Didjel
Gude rewbe ("morceaux pour les femmes") et gude worbe ("morceaux pour les hommes")
8. Chant responsorial a capella
9. Horsinaango
10. Kiri
Gude worbe et gude rewbe des descendants de captifs
11. Ndoondo et Bawdi laamu
12. Tindinoore
Gude worbe des griots
13. Ndoondo
Farafina : Faso Denou
1. Mama Sara (7'11)
2. Kara Mogo Mousso (3'59)
3. Dounounia (5'20)
4. Nanore (3'10)
5. Faso Denou (3'45)
6. Hereyo mibi (6'53)
7. Ourodara Sidiki (6'01)
8. Lanaya (5'36)
9. Bi Mousso (4'38)
Farafina, Haute Volta (Burkina Faso). Akademie der Künste, Berlin, 8-11-1983. Concert Live à Vevey, Suisse, Août 1983, et enregistrements dans des lieux privés à Berlin.
CD1 78' (Enr. J. Dietrich)
01-08. Live à Vevey
09. Concert à l'occasion du 20e jubilé de l'Institut International IITM au Ballhaus Naunynstrasse, Berlin 5-11-1983
CD2 84'
01. Emission de Rias Berlin 22-11-1983, Interview avec Manfred Spenner.
02-03. Enregistrement au logement de Farafina à Kreuznacher Strasse, Berlin. 6-11-1983
04. Interview avec Konate Mahama, en français.
05-06. Enregistrement en Haute Volta 1979-1981 par Manfred Spenner
Enr. J. Dietrich
CD3 72'
01-02. Farafina Concert à l'Akademie der Künste, Berlin 8-11-1983
Farafina, Haute Volta (Burkina Faso). Enregistré à Möckernstrasse, Berlin, 7-11-1983 par Heiner Basilius Martion.
01. Percussions. (7'37'')
02. Percussions, balafon, hochet... (45'25'')
03. Chant, flûte, vièle, balafon, percussions, hochet... (15'38'')
04. Balafon, flûtes, percussion... (12'43'')
Lassina Coulibaly et Yan Kadi Faso. Musiques du Burkina Faso et du Mali.
1. Soundjata. Eloge du fondateur de l'empire mandingue. Solo de kora.
2. An Ka Ben. Kora, sokou, flé, deux balan, dji dounou, tchitchacara.
3. Déli man guélé djan fa lé ka Djougou
4. Massoum Pien
5. Son kelen kelen b'anbé ra
6. Djéli djourou
7. Bri kamaye
8. Lélé
9. Ba mana sa
Mossi du Burkina Faso. Musiques de cour et de village.
1. Orchestre de cour de Naba Tigré
2. Musique pour la danse Tigba
3. Chant d'amour
4. Choeur de femmes et tambours
5. Louanges des Nabas de Tenkodogo
6. Pour soutenir les efforts des cultivateurs
7. Généalogie et histoire des Nabas de Tenkodogo
Notre librairie n° 101. Littérature du Burkina Faso.
Sommaire.
I. Un carrefour des peuples.
-Au carrefour de la palabre. Evariste Da.
-Les données de la préhistoire et de l'histoire. Jean-Baptiste Kiethega et Samuel Salo.
-La situation linguistique. Norbert Nikiema.
II. En langues nationales.
-Ceux qui savent raconter. Alain Kam Sié.
-Littérature instrumentale ? Gestuelle ? Culturelle ? Frédéric Pacéré Titinga.
-La littérature des masques. Pacéré Titinga.
-En mooré. Albert Ouedraogo.
-La chanson traditionnelle chez les Moosé. Oger Kabore.
-En jula. Bakary Coulibaly.
-En fulfude. Amidou Alhamdou.
III. En français.
-Depuis le crépuscule des temps anciens... Hyacinthe Sanwidi.
-Un pionnier : Nazi Boni. Boniface Bonou.
-Les carnets secrets de Patrick Ilboudo (entretien). Propos recueillis par Albert Ouedraogo.
-Panorama de la poésie. Sanou Salaka.
-Pacéré Titinga, mon testament littéraire (entretien). Propos recueillis par Patrick Ilboudo.
-Du manuscrit à la scène. Jean-Pierre Guingane.
-Dix ans de théâtre : 1979-1989. Jean-Claude Ki.
-Deux expériences théâtrales : (entretiens). Propos recueillis par Babou Benon.
J.P. Guingané et le théâtre de la Fraternité.
P. Kompaoré et l'Atelier Théâtre Burkinabé.
-Miroir, mémoire, vigile et voleur de mots (Table ronde avec : Jacques-Prosper Bazié, Bernadette Dao, Ignace Hien, Joanna Ilboudo et Patrick Ilboudo). Animée par Oumarou Almou, Bali Augustin Bakouan sous la direction de Salaka Sandou.
-Une littérature en images. Filippe Sawadogo.
-"Yirmoaga : tu me fais rigolement !". Jean-Pierre Guingane.
IV. Une littérature en instance.
Dossier préparé par Bali Augustin Bakouan, Elie Yougbare et Bernard Sanon.
-Imprimer, éditer, diffuser.
-La publication et après.
-A la radio et dans la presse.
-A l'université.
-Promouvoir la culture.
-Cercle, société, association, union.
-Une littérature en instance.
Bibliographie. Sous la responsabilité de Babou Benon.
Notes de lecture.
Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Burkina Faso
Cet ouvrage aborde les concepts et politiques de gestion du patrimoine culturel immatériel au Burkina Faso. Il appelle à une meilleure sauvegarde des pratiques et expressions culturelles liées au balafon pentanonique sénoufo.