La question de la décontextualisation : Rituel de possession de la communauté noire de Tunis; P'ansori de Corée, deux interventions du Festival de l'Imaginaire 2001 concernant le transfert de forme du milieu endogène vers une scène occidentale.
Collection
Titre
La question de la décontextualisation : Rituel de possession de la communauté noire de Tunis; P'ansori de Corée, deux interventions du Festival de l'Imaginaire 2001 concernant le transfert de forme du milieu endogène vers une scène occidentale.
Type de document
Ouvrage
Date de parution
2002-01-20
Origine géographique
France
Langue
fr
Français
Contenu
fr
Maîtrise d'études théâtrales
Université de Paris X-Nanterre
Sommaire :
Introduction
I. Les échanges interculturels et l'aventure de la Maison des Cultures du Monde
A. La rencontre des civilisations et les relations culturelles internationales, un bref état des lieux
- Grandes découvertes, colonisation et relations entre les peuples : des rapports de force peu propices aux dialogues
- De l'ethnocentrisme à la rencontre des cultures
- Rencontre des cultures et expressions traditionnelles : le rôle de quelques personnalités et des institutions publiques en France
B. La Maison des Cultures du Monde et le choix du transfert
- L'ethnoscénologie, une nouvelle discipline pour l'étude des formes spectaculaires
- Le transfert d'une forme spectaculaire dans la logique de la découverte des cultures
- Quels formes pour un transfert réussi
Des formes traditionnelles
Des formes authentiques
des formes non répertoriées et de qualité
II. Le Stambali et le P'ansori et le récit de deux transferts
A. Des formes aux origines lointaines
- Le Stambali de Tunisie
Un syncrétisme entre religion musulmane et religiosité africaine
Adeptes, instruments et organisation du rituel
- Le P'ansori de Corée
Naissance du P'ansori, plusieurs hypothèses
Narration, chant, mouvement : unopéra codé
B. Le déroulement des transferts
- Le choix des formes et leur prospection
Le Stambali : une recherche sur le terrain
Le P'ansori et l'utilisation de relais
Le rôle des informateurs
- L'organisation des séjours des ritualistes tunisiens et de la chanteuse de P'ansori
La question administrative
L'organisation logistique
La question de la présentation
La phase communication
- Le passage des invités à la Maison des Cultures du Monde
Le séjour des Tunisiens : imprévus et confusions
Le séjour des Coréens : des préoccupations d'artistes
III. La présentation des deux expressions spectaculaires loin du milieu endogène et la possibilité de malentendus
A. La politique de présentation de la Maison des Cultures du Monde
- Les contraintes de la scène face aux exigences des expressions
La contrainte de temps
La contrainte de l'espace
La contrainte technique
- Une volonté didactique et les limites d'un savoir-faire
Une manière de pédagogie mais pas un enseignement
Des risques d'interventionnisme
B. le point de vue des invités
- Le concept de vérité ou la notion d'efficacité dans le cas du Stambali
La vérité d'un culte et l'existence d'une spectacularisation dans le milieu endogène
La nécessaire mise en valeur de la spiritualité et de la difficulté de la communiquer
Le dépaysement et l'affectif : des freins à l'efficacité
- Séduction et possible malentendu autour de la présentation du P'ansori
Une erreur de registre
L'utilisation de l'improvisation
C. Le point de vue des spectateurs, un public vierge ou initié ?
- Curiosité et soif de découvertes
Des spectateurs initiés
Les limites de la connaissance
- Perceptions et sensibilités
L'immatériel et ses pouvoirs
La question esthétique
Conclusion
Annexes et bibliographies
Université de Paris X-Nanterre
Sommaire :
Introduction
I. Les échanges interculturels et l'aventure de la Maison des Cultures du Monde
A. La rencontre des civilisations et les relations culturelles internationales, un bref état des lieux
- Grandes découvertes, colonisation et relations entre les peuples : des rapports de force peu propices aux dialogues
- De l'ethnocentrisme à la rencontre des cultures
- Rencontre des cultures et expressions traditionnelles : le rôle de quelques personnalités et des institutions publiques en France
B. La Maison des Cultures du Monde et le choix du transfert
- L'ethnoscénologie, une nouvelle discipline pour l'étude des formes spectaculaires
- Le transfert d'une forme spectaculaire dans la logique de la découverte des cultures
- Quels formes pour un transfert réussi
Des formes traditionnelles
Des formes authentiques
des formes non répertoriées et de qualité
II. Le Stambali et le P'ansori et le récit de deux transferts
A. Des formes aux origines lointaines
- Le Stambali de Tunisie
Un syncrétisme entre religion musulmane et religiosité africaine
Adeptes, instruments et organisation du rituel
- Le P'ansori de Corée
Naissance du P'ansori, plusieurs hypothèses
Narration, chant, mouvement : unopéra codé
B. Le déroulement des transferts
- Le choix des formes et leur prospection
Le Stambali : une recherche sur le terrain
Le P'ansori et l'utilisation de relais
Le rôle des informateurs
- L'organisation des séjours des ritualistes tunisiens et de la chanteuse de P'ansori
La question administrative
L'organisation logistique
La question de la présentation
La phase communication
- Le passage des invités à la Maison des Cultures du Monde
Le séjour des Tunisiens : imprévus et confusions
Le séjour des Coréens : des préoccupations d'artistes
III. La présentation des deux expressions spectaculaires loin du milieu endogène et la possibilité de malentendus
A. La politique de présentation de la Maison des Cultures du Monde
- Les contraintes de la scène face aux exigences des expressions
La contrainte de temps
La contrainte de l'espace
La contrainte technique
- Une volonté didactique et les limites d'un savoir-faire
Une manière de pédagogie mais pas un enseignement
Des risques d'interventionnisme
B. le point de vue des invités
- Le concept de vérité ou la notion d'efficacité dans le cas du Stambali
La vérité d'un culte et l'existence d'une spectacularisation dans le milieu endogène
La nécessaire mise en valeur de la spiritualité et de la difficulté de la communiquer
Le dépaysement et l'affectif : des freins à l'efficacité
- Séduction et possible malentendu autour de la présentation du P'ansori
Une erreur de registre
L'utilisation de l'improvisation
C. Le point de vue des spectateurs, un public vierge ou initié ?
- Curiosité et soif de découvertes
Des spectateurs initiés
Les limites de la connaissance
- Perceptions et sensibilités
L'immatériel et ses pouvoirs
La question esthétique
Conclusion
Annexes et bibliographies
Éditeur
Maison des Cultures du Monde, Paris
Format
fr
A4
Nbre de pages
159
Mots-clés
Auteur val
Illustration
fr
Photo Noir et Blanc
Couleur
fr
Noir et Blanc