Argentine. Un malambo. Spectacle
Collection
Type de document
Évènement
Titre
Argentine. Un malambo. Spectacle
Sous-titre
Une vision du malambo par Diana Theocharidis
Date
2015-10-30
Date de fin
2015-10-31
Artistes principaux
Lieu de l'évènement
Type d'évènement
Danse
Description de la pratique
Le malambo. une danse de la plaine infinie de la Pampa argentine dont les origines remontent sans doute au XVIIe siècle.
Une danse pour hommes, pour gauchos, hommes marginaux, hommes à cheval, qui, autour du feu, dansaient des malambos effrénés.
Le bandonéon. Un instrument qui est devenu le « son » emblématique d’une ville, Buenos Aires et le symbole de la solitude essentielle de ses habitants. Pas de tango sans bandonéon. Aux origines, le tango, également, se dansait entre hommes.
Dans d ́autres régions de l ́Argentine – Salta, Santiago del Estero – le bandonéon est aussi l’instrument des danses traditionnelles rurales.
Ce spectacle est une vision du malambo à travers deux de ses interprètes exceptionnels : le danseur Aníbal Jiménez et le bandonéoniste Pablo Mainetti.
Les mouvements d’Aníbal Jiménez recueillent des souvenirs de danses perdues. Né au sein d’une famille de danseurs traditionnels, il commence à danser très jeune, parcourant toute l’Argentine, s’imbibant des diverses formes que cette danse a prises dans tout le territoire.
Pablo Mainetti, un des bandonéonistes les plus en vue de la nouvelle génération, est engagé dans une démarche esthétique qui incorpore la musique traditionnelle et la création contemporaine.
Pablo Ortiz, compositeur argentin, également lié au tango et aux musiques traditionnelles ainsi qu ́à
la musique contemporaine, crée un espace sonore qui contient le timbre du bandonéon, le rhytme du zapateo, ainsi que d ́autres sonorités et voix qui s’imbriquent pour évoquer l ́atmosphère magnétique du malambo.
Un regard contemporain sur une tradition – une musique, une danse, mais surtout un paysage, une littérature, une lecture du passé, un possible présent. Diana Theocharidis, chorégraphe argentine qui travaille depuis longtemps sur des matériaux qu’elle recherche dans les danses traditionnelles, essaye ici d’aller à l ́essentiel de cette danse qui fait partie du patrimoine culturel immatériel de l’Argentine, de son héritage, mais qui est aussi une création, une écriture vivante, toujours en transformation. Elle revisite cette forme souvent galvaudée aujourd’hui par les spectacles folkloriques et en fait ressortir la beauté rude, l’intrépidité grâce à la complicité d’Aníbal Jiménez. Ce spectacle évoque un univers où le malambo est présent au centre d’une constellation d’éléments de la culture – de l’imaginaire – argentine : la tradition et, aussi, les traductions et les lectures des personnes qui la pratiquent.
Une danse pour hommes, pour gauchos, hommes marginaux, hommes à cheval, qui, autour du feu, dansaient des malambos effrénés.
Le bandonéon. Un instrument qui est devenu le « son » emblématique d’une ville, Buenos Aires et le symbole de la solitude essentielle de ses habitants. Pas de tango sans bandonéon. Aux origines, le tango, également, se dansait entre hommes.
Dans d ́autres régions de l ́Argentine – Salta, Santiago del Estero – le bandonéon est aussi l’instrument des danses traditionnelles rurales.
Ce spectacle est une vision du malambo à travers deux de ses interprètes exceptionnels : le danseur Aníbal Jiménez et le bandonéoniste Pablo Mainetti.
Les mouvements d’Aníbal Jiménez recueillent des souvenirs de danses perdues. Né au sein d’une famille de danseurs traditionnels, il commence à danser très jeune, parcourant toute l’Argentine, s’imbibant des diverses formes que cette danse a prises dans tout le territoire.
Pablo Mainetti, un des bandonéonistes les plus en vue de la nouvelle génération, est engagé dans une démarche esthétique qui incorpore la musique traditionnelle et la création contemporaine.
Pablo Ortiz, compositeur argentin, également lié au tango et aux musiques traditionnelles ainsi qu ́à
la musique contemporaine, crée un espace sonore qui contient le timbre du bandonéon, le rhytme du zapateo, ainsi que d ́autres sonorités et voix qui s’imbriquent pour évoquer l ́atmosphère magnétique du malambo.
Un regard contemporain sur une tradition – une musique, une danse, mais surtout un paysage, une littérature, une lecture du passé, un possible présent. Diana Theocharidis, chorégraphe argentine qui travaille depuis longtemps sur des matériaux qu’elle recherche dans les danses traditionnelles, essaye ici d’aller à l ́essentiel de cette danse qui fait partie du patrimoine culturel immatériel de l’Argentine, de son héritage, mais qui est aussi une création, une écriture vivante, toujours en transformation. Elle revisite cette forme souvent galvaudée aujourd’hui par les spectacles folkloriques et en fait ressortir la beauté rude, l’intrépidité grâce à la complicité d’Aníbal Jiménez. Ce spectacle évoque un univers où le malambo est présent au centre d’une constellation d’éléments de la culture – de l’imaginaire – argentine : la tradition et, aussi, les traductions et les lectures des personnes qui la pratiquent.
Présentation des artistes
Aníbal Jiménez, danse
Pablo Mainetti, bandonéon
Pablo Ortiz, musique et bande son
Ville Kontinen, création lumière
Diana Theocharidis, chorégraphie
Pablo Mainetti, bandonéon
Pablo Ortiz, musique et bande son
Ville Kontinen, création lumière
Diana Theocharidis, chorégraphie
Origine géographique
Argentine
Représentations
Auditorium de l’EnCRe, Cayenne (2015-11-06)
Date (année)
2015
Cote MCM
MCM_2015_AR_S1
Ressources liées
Filtrer par propriété
Titre | Localisation | Date | Type | |
---|---|---|---|---|
Argentine. Un malambo. Photos | Argentine | 2015-10-31 | Photo numérique | |
Argentine. Un malambo. Vidéos | Argentine | 2015-10-31 | Vidéo numérique | |
Argentine. Un malambo. Programme | Argentine | 2015-10-31 | Programme de salle |