Corée. Son Mu Ga. Paramita. Création mondiale, post Zen dance of New York. Spectacle
Collection
Type de document
Évènement
Titre
Corée. Son Mu Ga. Paramita. Création mondiale, post Zen dance of New York. Spectacle
Sous-titre
Chorégraphie Lee Sun-Ock
Date
1994-11-24
Date de fin
1994-12-04
Artistes principaux
Lieu de l'évènement
Type d'évènement
Danse
Description de la pratique
24 novembre-4 décembre 1994. Rond Point
Mystique, pédagogue, danseuse, Lee Sun-Ock est également une créatrice. En une ligne d'une incroyable pureté, elle mêle avec subtilité le mouvement zen très contrôlé, la liberté de la danse contemporaine et la calligraphie coréenne tracée à même les corps nus, dans une chorégraphie à la fois hardie, minimaliste et efficace, destinée à atteindre l'état de délice par la sensualité sereine. Reputée comme l'une des plus grandes danseuses traditionnelles de Corée, Lee Sun-Ock s'établit aux Etats-Unis en 1979. Après avoir travaillé avec Cunningham et Taylor, elle lance le mouvement de la Post Zen Dance et fonde son école dans le New Jersey afin d'y enseigner les principes et la philosaphie de Son Mu.
La danseuse chorégraphe Lee Sun-Ock présente en création mondiale un spectacle multimédia, véritable cérémonie incorporant le chant, la percussion, des éléments de la danse rituelle coréenne empruntés aux mudra du bouddhisme tantrique, à la danse zen contemporaine et au Keum Gang Seung, les arts martiaux du bouddhisme tantrique coréen. Ce spectacle fait également appel à la peinture zen contemporaine, le Son Hwa, tracée sur le décor de scène et à même les corps des danseurs. Après seize années de formation à la danse coréenne zen (Son Mu) par le maître Song-Dam, Lee Sun-Ock s'initia pendant trois ans aux mudra du bouddhisme tantrique coréen auprès du maître Yang-Ik au monastère Chung Run Am. C'est là quelle fit la connaissance du moine Woun Ji, disciple de Yang-Ik, et spécialiste du Keum Gang Seung.
Keum Gang Seung (en sanskrit: vajrayana) signifie "Le véhicule de diamant". Cette école du bouddhisme naquit dans le nord-est et le nord-ouest de l'Inde au milieu du premier millénaire et se développa autour de l'ensignement du Vajrayana-Mahayana avant de gagner le Tibet, la Chine, la Corée et le Japon. La sublimation de l'individu est atteinte par la récitation des mantra, la contemplation des mandala et l'exécution des gestes rituels, les vajrayana-mudra.
Paramita est l'expression moderne de la "perfection", vertu essentielle que le (ou la) bodhisattva (être illuminé) développe tout au long de sa vie par la cantillation bouddhique, la danse zen et la peinture. La danse constitue un état de méditation; les danseurs parviennent sans effort à un état qui dépasse les limites de l'intellect pour se fondre avec le bodhisattva. Travaillant d'intuition, leurs mouvements reflètent comme un miroir la nature du Bouddha. Toutefois, si cette illumination dépasse les mots et les concepts, des techniques bien définies ont été mises au point pour y parvenir. Puisant dans tout son potentiel créatif, le danseur zen transforme ses émotions, la colère, la joie, la tristesse et transmet son énergie à tous ceux qui l'entourent en les amenant ainsi à réagir spontanément.
Voir biographie dans le programme papier
Lee Sun-Ock, chorégraphie, cantillation.
Joseph Celli, compositeur, instruments à anches du monde entier.
Pierre Simonin, lumières.
Sook Kim, costumes.
Moine Woun Ji, Keum Gang Seung, art martial du bouddhisme tantrique coréen.
Yun Hong Ti, Son Hwa, peinture zen contemporaine
Steven Rosenthal, sculpture instrumentale.
Jin Hee Kim, komungo, changgo, electric komungo
Brian Johnson, voix et percussions
Danseurs Son Mu: Lee Ja-Kyung, Lee Sun-Ock, Park Eun-Ok, Sasaki Akari, Kyralesa C. Wiley
1. dana-paramita, la générosité, offrandes à Bouddha et réconfort des âmes des vivants.
Cantillation, Son Mu, peinture zen Son Hwa, musique.
2. shila-paramita, la discipline, ou comment préserver l'état de méditation des conflits intérieurs et des tentations. Danse, peinture zen Son Hwa, sculpture instrumentale, musique. Danse, peinture zen Son Hwa, sculpture instrumentale, musique.
3. kshanti-paramita, la patience, ou comment préserver l'état de méditation face au désespoir, à l'insécurité et à toutes les forces destructrices. Keum Gang Seung, danse, musique.
4. virya-paramita, l'effort, les diverses formes d'énergie dans le mouvement et l'immobilité. Cantillation, Keum Gang Seung, danse, musique.
5. Dhyana-paramita, la méditation, l'absorption, ou l'état de sammadhi, atteint en fixant une attention soutenue sur un objet physique ou mental. Danse, peinture zen Son Hwa, musique.
6. prajna-paramita, la sagesse, où l'on parvient à l'illumination, à la libération et à la perfection. Danse et percussions, musique.
Mystique, pédagogue, danseuse, Lee Sun-Ock est également une créatrice. En une ligne d'une incroyable pureté, elle mêle avec subtilité le mouvement zen très contrôlé, la liberté de la danse contemporaine et la calligraphie coréenne tracée à même les corps nus, dans une chorégraphie à la fois hardie, minimaliste et efficace, destinée à atteindre l'état de délice par la sensualité sereine. Reputée comme l'une des plus grandes danseuses traditionnelles de Corée, Lee Sun-Ock s'établit aux Etats-Unis en 1979. Après avoir travaillé avec Cunningham et Taylor, elle lance le mouvement de la Post Zen Dance et fonde son école dans le New Jersey afin d'y enseigner les principes et la philosaphie de Son Mu.
La danseuse chorégraphe Lee Sun-Ock présente en création mondiale un spectacle multimédia, véritable cérémonie incorporant le chant, la percussion, des éléments de la danse rituelle coréenne empruntés aux mudra du bouddhisme tantrique, à la danse zen contemporaine et au Keum Gang Seung, les arts martiaux du bouddhisme tantrique coréen. Ce spectacle fait également appel à la peinture zen contemporaine, le Son Hwa, tracée sur le décor de scène et à même les corps des danseurs. Après seize années de formation à la danse coréenne zen (Son Mu) par le maître Song-Dam, Lee Sun-Ock s'initia pendant trois ans aux mudra du bouddhisme tantrique coréen auprès du maître Yang-Ik au monastère Chung Run Am. C'est là quelle fit la connaissance du moine Woun Ji, disciple de Yang-Ik, et spécialiste du Keum Gang Seung.
Keum Gang Seung (en sanskrit: vajrayana) signifie "Le véhicule de diamant". Cette école du bouddhisme naquit dans le nord-est et le nord-ouest de l'Inde au milieu du premier millénaire et se développa autour de l'ensignement du Vajrayana-Mahayana avant de gagner le Tibet, la Chine, la Corée et le Japon. La sublimation de l'individu est atteinte par la récitation des mantra, la contemplation des mandala et l'exécution des gestes rituels, les vajrayana-mudra.
Paramita est l'expression moderne de la "perfection", vertu essentielle que le (ou la) bodhisattva (être illuminé) développe tout au long de sa vie par la cantillation bouddhique, la danse zen et la peinture. La danse constitue un état de méditation; les danseurs parviennent sans effort à un état qui dépasse les limites de l'intellect pour se fondre avec le bodhisattva. Travaillant d'intuition, leurs mouvements reflètent comme un miroir la nature du Bouddha. Toutefois, si cette illumination dépasse les mots et les concepts, des techniques bien définies ont été mises au point pour y parvenir. Puisant dans tout son potentiel créatif, le danseur zen transforme ses émotions, la colère, la joie, la tristesse et transmet son énergie à tous ceux qui l'entourent en les amenant ainsi à réagir spontanément.
Voir biographie dans le programme papier
Lee Sun-Ock, chorégraphie, cantillation.
Joseph Celli, compositeur, instruments à anches du monde entier.
Pierre Simonin, lumières.
Sook Kim, costumes.
Moine Woun Ji, Keum Gang Seung, art martial du bouddhisme tantrique coréen.
Yun Hong Ti, Son Hwa, peinture zen contemporaine
Steven Rosenthal, sculpture instrumentale.
Jin Hee Kim, komungo, changgo, electric komungo
Brian Johnson, voix et percussions
Danseurs Son Mu: Lee Ja-Kyung, Lee Sun-Ock, Park Eun-Ok, Sasaki Akari, Kyralesa C. Wiley
1. dana-paramita, la générosité, offrandes à Bouddha et réconfort des âmes des vivants.
Cantillation, Son Mu, peinture zen Son Hwa, musique.
2. shila-paramita, la discipline, ou comment préserver l'état de méditation des conflits intérieurs et des tentations. Danse, peinture zen Son Hwa, sculpture instrumentale, musique. Danse, peinture zen Son Hwa, sculpture instrumentale, musique.
3. kshanti-paramita, la patience, ou comment préserver l'état de méditation face au désespoir, à l'insécurité et à toutes les forces destructrices. Keum Gang Seung, danse, musique.
4. virya-paramita, l'effort, les diverses formes d'énergie dans le mouvement et l'immobilité. Cantillation, Keum Gang Seung, danse, musique.
5. Dhyana-paramita, la méditation, l'absorption, ou l'état de sammadhi, atteint en fixant une attention soutenue sur un objet physique ou mental. Danse, peinture zen Son Hwa, musique.
6. prajna-paramita, la sagesse, où l'on parvient à l'illumination, à la libération et à la perfection. Danse et percussions, musique.
Présentation des artistes
Composition musicale, arrangements
Chorégraphie
Décors et costumes
Origine géographique
Corée
Mots-clés
Date (année)
1994
Cote MCM
MCM_1994_KR_S1
Ressources liées
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| Titre | Localisation | Date | Type | |
|---|---|---|---|---|
 Corée. Son Mu Ga. Paramita. Création mondiale, post Zen dance of New York. Photos |
Corée | 1994-11-24 | Photo numérique | |
| Corée. Danse Zen, son mu ga. Affiche | Corée | 1994-11-24 | Affiche |
| Titre | Localisation | Date | Type | |
|---|---|---|---|---|
| Saison 1994 | 1994 |