Brésil. Candomblé de Angola. Musique rituelle afro-brésilienne. Brasil. Candomblé de Angola. Afro-brazilian ritual music.
Collection
Titre
Brésil. Candomblé de Angola. Musique rituelle afro-brésilienne. Brasil. Candomblé de Angola. Afro-brazilian ritual music.
Type de document
Audio édité
Cote MCM
982 CAN
Date de parution
1999
Origine géographique
Brésil
Description
Cérémonie : Deuxième d'un cycle de trois cérémonies consacrées à Gogombira, dieu de la chasse, qui a eu lieu dans la nuit du 27 au 28 mars 1999.
Appel des divinités (Xirê)
Hommage aux divinités et incitation par une succession préétablie de chants à se manifester dans l'espace sacré du barracao.
1. Quatre chants pour Insumbo (rythmes congo et barravento)
Insumbo est les dieu des maladies contagieuses (plus précisement variole), il n'apparaît que revêtu de paille, son corps étant couvert de plaies. Il est lié à la terre et au culte des morts.
2. Trois chants pour Tempo (rythmes cabula, barravento)
Tempo et Insumbo seraient frères, l'arbre auquel Tempo est identifié se nomme gameleira branca (ficus religiosa). A Bahia, chaque terreiro en possède un dans son enceinte, au pied duquel sont disposés les offrandes.
3. Cinq chants pour Bamburucena, déesse des vents et de la tempête et épouse de Zazi, dieu de la foudre (rythme congo)
4. Six chants pour Dandalunda, déesse de la beauté, des fleuves et des rivières. (rythme cabula, barravento, congo)
5. Deux chants pour Kayala (ryhtme cabula)
Dans la tradition Jêje-Nagô, Yemanja est la déesse des mers, et la population de la ville de Salvador lui rend hommage le 2 février. Dans la "nation" Angola, Yemanja sa nomme Kayala.
6. Deux chants pour Gazumba (rythme barravento)
Nana est la plus vieille déesse du panthéon Ketu, elle participe avec Oxala, de la création du monde. Son équivalent dans le panthéon Angola est Gazumba.
7. Entrées en transe
Au terme du xirê, un viel oga (titre honorifique réservé aux hommes et notamment aux musiciens) va entonner un cantiga de fundamento ou chamada de santo, dont la fonction est d'induire la transe. Le chant est accompagné par la choche rituelle sacrée l'adja.
Le cri (ila) poussé par les possédés matérialise la possession par la divinité. A chaque divinité correspond un cri spécifique.
Ici il s'agit d'une femme possedée par Zazi, dieu de la foudre.
Un deuxième chant (rythme cabula) a pour fonction de conduire les initiés en transe dans la pièce secrète où ils vont être vêtus de leurs parures respectives.
Intervalle pendant le temps consacré à vêtir les divinités, ou la mère de saint et le vieil oga chantent pour l'une ou l'autre des divinités.
8. Deux chants entonnés par l'oga (rythme cabula)
9. Deux chants rituels (rythme barravento)
10. Deux chants pour Gogombira (rythme barravento)
Amala, offrande de nourriture pour Zazi (ou Xangô), dieu de la foudre. Plat d'origine Yoruba composé de gombos et de manioc.
11. Chant pour l'arrivée de Zazi (rythme barravento)
12. Trois chants pour le partage de l'amala (rythme congo)
Danse des divinités
13. Deux chants pour l'arrivée des divinités (Gogombira, Dandalunda, Kayala et Zazi) dans le barracao, chacune d'elles arborant parures et objets rituels qui la caractérisent.
14 Trois chants pour Nkosi (ou Ogum), dieu de la guerre et patron des forgerons (rythme congo)
15. Sept chants pour la danse de Gogombira
16. Quatre chants pour le danse de Dandalunda (rythme ijexa)
17. Deux chants pour la danse de Kayala (rythme cabula)
18. Trois chants pour la danse de Zazi (rythme congo, barravento, cabula)
Fin de la cérémonie
19. Sept chants pour Lemba, père ancestral de toutes les divinités du panthéon Angola. Toutes les cérémonies doivent se terminer en son honneur. (rythme barravento et congo lent)
20. Deux chants pour reconduire les divinités.
Appel des divinités (Xirê)
Hommage aux divinités et incitation par une succession préétablie de chants à se manifester dans l'espace sacré du barracao.
1. Quatre chants pour Insumbo (rythmes congo et barravento)
Insumbo est les dieu des maladies contagieuses (plus précisement variole), il n'apparaît que revêtu de paille, son corps étant couvert de plaies. Il est lié à la terre et au culte des morts.
2. Trois chants pour Tempo (rythmes cabula, barravento)
Tempo et Insumbo seraient frères, l'arbre auquel Tempo est identifié se nomme gameleira branca (ficus religiosa). A Bahia, chaque terreiro en possède un dans son enceinte, au pied duquel sont disposés les offrandes.
3. Cinq chants pour Bamburucena, déesse des vents et de la tempête et épouse de Zazi, dieu de la foudre (rythme congo)
4. Six chants pour Dandalunda, déesse de la beauté, des fleuves et des rivières. (rythme cabula, barravento, congo)
5. Deux chants pour Kayala (ryhtme cabula)
Dans la tradition Jêje-Nagô, Yemanja est la déesse des mers, et la population de la ville de Salvador lui rend hommage le 2 février. Dans la "nation" Angola, Yemanja sa nomme Kayala.
6. Deux chants pour Gazumba (rythme barravento)
Nana est la plus vieille déesse du panthéon Ketu, elle participe avec Oxala, de la création du monde. Son équivalent dans le panthéon Angola est Gazumba.
7. Entrées en transe
Au terme du xirê, un viel oga (titre honorifique réservé aux hommes et notamment aux musiciens) va entonner un cantiga de fundamento ou chamada de santo, dont la fonction est d'induire la transe. Le chant est accompagné par la choche rituelle sacrée l'adja.
Le cri (ila) poussé par les possédés matérialise la possession par la divinité. A chaque divinité correspond un cri spécifique.
Ici il s'agit d'une femme possedée par Zazi, dieu de la foudre.
Un deuxième chant (rythme cabula) a pour fonction de conduire les initiés en transe dans la pièce secrète où ils vont être vêtus de leurs parures respectives.
Intervalle pendant le temps consacré à vêtir les divinités, ou la mère de saint et le vieil oga chantent pour l'une ou l'autre des divinités.
8. Deux chants entonnés par l'oga (rythme cabula)
9. Deux chants rituels (rythme barravento)
10. Deux chants pour Gogombira (rythme barravento)
Amala, offrande de nourriture pour Zazi (ou Xangô), dieu de la foudre. Plat d'origine Yoruba composé de gombos et de manioc.
11. Chant pour l'arrivée de Zazi (rythme barravento)
12. Trois chants pour le partage de l'amala (rythme congo)
Danse des divinités
13. Deux chants pour l'arrivée des divinités (Gogombira, Dandalunda, Kayala et Zazi) dans le barracao, chacune d'elles arborant parures et objets rituels qui la caractérisent.
14 Trois chants pour Nkosi (ou Ogum), dieu de la guerre et patron des forgerons (rythme congo)
15. Sept chants pour la danse de Gogombira
16. Quatre chants pour le danse de Dandalunda (rythme ijexa)
17. Deux chants pour la danse de Kayala (rythme cabula)
18. Trois chants pour la danse de Zazi (rythme congo, barravento, cabula)
Fin de la cérémonie
19. Sept chants pour Lemba, père ancestral de toutes les divinités du panthéon Angola. Toutes les cérémonies doivent se terminer en son honneur. (rythme barravento et congo lent)
20. Deux chants pour reconduire les divinités.
Éditeur
Maison des Cultures du Monde
Collection
Inédit
numéro
W260091
Durée
72'
Support physique
Audio - CD
Type d'évènement
Autres spectacles vivants: cérémonies, rituels, fêtes...
Type de captation
Terrain
Mots-clés
nombre de pages
28