Al-Âla, musique classique du Maroc. Orchestre Arabo-Andalou de Fès et la participation de Françoise Atlan.
Collection
Titre
Al-Âla, musique classique du Maroc. Orchestre Arabo-Andalou de Fès et la participation de Françoise Atlan.
Artistes
Type de document
Audio édité
Cote MCM
MA.3377
Date de parution
2008-04-03
Origine géographique
Maroc
Description
Concert enregistré le DIMANCHE 3 AVRIL, 17H à l'Auditorium du Louvre.
Musiciens de l'Orchestre arabo-andalou de Fès
Mohamed Briouel, violon et direction
Mohamed Arabi Gharnaté, violon et chant
Mustapha Amri, alto et chant
Jamal Eddine Ben Allal, luth ûd et chant
Aziz Alami Chentoufi, tambour sur cadre târ et chant
Abdessalam Amri, tambour-calice darbuka et chant
Avec la participation de Françoise Atlan, chant
01. applaudissement
02. Tawashi al-Istihlâl 9'58
La nûba al-Istihlâl est la cinquième des onze nûbat marocaines dans la classification établie par Ibn al-Hâyik au début du XIXe siècle. On entendra ici une suite d'interludes appelés tûshiya (pl. tawashi).
03. 30'01
Nûba al-Hijâz al-Kebîr
La nûba al-Hijâz al-Kebîr est la huitième dans la classification d'al-Hâyik. Elle est fondée sur le mode principal hijâz al-kebîr qui lui a donné son nom et sur deux modes secondaires : al-msharqî al-saghîr et mujannabu al-dhîl.
Dans sa version intégrale enregistrée en 1990 par l'Orchestre Al-Brihi de Fès sous la direction de Hadj Abdelkrim Raïs pour la collection INEDIT/Maison des Cultures du Monde, elle dure environ sept heures et demie. Mais comme il a été dit plus haut, que ce soit lors des fêtes ou des concerts, elle n'est jamais jouée dans sa totalité.
On en entendra donc ici les parties suivantes :
-Un extrait du premier mouvement, le mîzân basît qui se compose d'un prélude instrumental non mesuré bughya, d'un prélude instrumental rythmé tûshiya, suivis de plusieurs sana chantées où l'on pourra apprécier l'accélération progressive du tempo.
04. 32'23
-Un chant solo inshâd, appelé également bitayn (litt. "deux maisons") car il se compose de deux vers dont la mélodie est improvisée par le chanteur.
-Un extrait du deuxième mouvement, le mîzân qâym wa nusf, qui se compose d'un prélude instrumental non mesuré bughya, d'un prélude instrumental rythmé tûshiya, suivis de plusieurs sana chantées.
-D'un chant improvisé dans le style mawwal sur un poème en arabe dialectal.
-Un extrait du cinquième mouvement, le mîzân quddâm.
Une gazelle arabe a ravi mon âme
ses cheveux illuminant son front.
Elle parle avec l'autorité
de Moïse prêchant dans le Sinaï.
La beauté a inscrit sur la joue :
"Notre victoire est complète".
Ô mon cur, si tu penches vers un autre,
tu feras fausse route.
(exemple de sana extraite du Quddâm)
05. 4'05 Bis rappel
Musiciens de l'Orchestre arabo-andalou de Fès
Mohamed Briouel, violon et direction
Mohamed Arabi Gharnaté, violon et chant
Mustapha Amri, alto et chant
Jamal Eddine Ben Allal, luth ûd et chant
Aziz Alami Chentoufi, tambour sur cadre târ et chant
Abdessalam Amri, tambour-calice darbuka et chant
Avec la participation de Françoise Atlan, chant
01. applaudissement
02. Tawashi al-Istihlâl 9'58
La nûba al-Istihlâl est la cinquième des onze nûbat marocaines dans la classification établie par Ibn al-Hâyik au début du XIXe siècle. On entendra ici une suite d'interludes appelés tûshiya (pl. tawashi).
03. 30'01
Nûba al-Hijâz al-Kebîr
La nûba al-Hijâz al-Kebîr est la huitième dans la classification d'al-Hâyik. Elle est fondée sur le mode principal hijâz al-kebîr qui lui a donné son nom et sur deux modes secondaires : al-msharqî al-saghîr et mujannabu al-dhîl.
Dans sa version intégrale enregistrée en 1990 par l'Orchestre Al-Brihi de Fès sous la direction de Hadj Abdelkrim Raïs pour la collection INEDIT/Maison des Cultures du Monde, elle dure environ sept heures et demie. Mais comme il a été dit plus haut, que ce soit lors des fêtes ou des concerts, elle n'est jamais jouée dans sa totalité.
On en entendra donc ici les parties suivantes :
-Un extrait du premier mouvement, le mîzân basît qui se compose d'un prélude instrumental non mesuré bughya, d'un prélude instrumental rythmé tûshiya, suivis de plusieurs sana chantées où l'on pourra apprécier l'accélération progressive du tempo.
04. 32'23
-Un chant solo inshâd, appelé également bitayn (litt. "deux maisons") car il se compose de deux vers dont la mélodie est improvisée par le chanteur.
-Un extrait du deuxième mouvement, le mîzân qâym wa nusf, qui se compose d'un prélude instrumental non mesuré bughya, d'un prélude instrumental rythmé tûshiya, suivis de plusieurs sana chantées.
-D'un chant improvisé dans le style mawwal sur un poème en arabe dialectal.
-Un extrait du cinquième mouvement, le mîzân quddâm.
Une gazelle arabe a ravi mon âme
ses cheveux illuminant son front.
Elle parle avec l'autorité
de Moïse prêchant dans le Sinaï.
La beauté a inscrit sur la joue :
"Notre victoire est complète".
Ô mon cur, si tu penches vers un autre,
tu feras fausse route.
(exemple de sana extraite du Quddâm)
05. 4'05 Bis rappel
Éditeur
Auditorium du Louvre
9
Durée
72'
Support physique
Audio - CD
Type d'évènement
Musique
Type de captation
Spectacle
Mots-clés
nombre de pages
2
cast
management and organization
Festival International Film et Spiritualité