Maroc. Amdah, odes mystiques. Photos
Type de document
Photo numérique
Titre
Maroc. Amdah, odes mystiques. Photos
Sous-titre
Orchestre arabo-andalou de Fès
Date
2012-04-28
Lieu de l'évènement
Type d'évènement
Musique
Description de la pratique
Amdah, odes mystiques.
Samedi 28 avril à 20 h 30
Dans la galerie Daru, Musée du Louvre
Orchestre arabo-andalou de Fès
Mohamed Briouel, violon alto et direction
Avec :
Saïd Chraïbi, chant
Anass Benmoussa, chant
Abdelmalek Otmani, chant
Mohammed Arabi Gharnate, violon et chant
Mostafa Amri, alto et chant
Abdelhai Bennani Baiti, rebab et chant
Driss Berrada, luth et chant
Aziz Alami Chentoufi, tar et chant
Abdesselam Amri, derbouka et chant
Suites de chants
- dans le mode îstihlâl
- dans les modes hijâz al-kabîr et rasd
Les Marocains ont toujours réservé une place prépondérante aux chants religieux et mystiques. Entre le XVIe et le XIXe siècle, les confréries soufies ont grandement contribué à la préservation des nûba, les poèmes profanes de certaines d'entre elles ayant d'ailleurs été entièrement remplacés par des poèmes religieux. Lieux de sauvegarde, de transmission et de production poétique et musicale, ces cercles mystiques ont développé un large répertoire de louanges au prophète, les amdah, chantés lors des cérémonies soufies et à l'occasion du mawlîd qui célèbre chaque année l'anniversaire du prophète. Ces chants sont interprétés a cappella par des chantres solistes auxquels répond le choeur des fidèles sous forme de suites organisées par mode musical, un peu sur le modèle de la nûba mais selon un schéma plus libre.
Les poèmes sont des muwashshah, des zajal, des extraits de qasida en arabe classique ou des mawal en arabe dialectal.
Samedi 28 avril à 20 h 30
Dans la galerie Daru, Musée du Louvre
Orchestre arabo-andalou de Fès
Mohamed Briouel, violon alto et direction
Avec :
Saïd Chraïbi, chant
Anass Benmoussa, chant
Abdelmalek Otmani, chant
Mohammed Arabi Gharnate, violon et chant
Mostafa Amri, alto et chant
Abdelhai Bennani Baiti, rebab et chant
Driss Berrada, luth et chant
Aziz Alami Chentoufi, tar et chant
Abdesselam Amri, derbouka et chant
Suites de chants
- dans le mode îstihlâl
- dans les modes hijâz al-kabîr et rasd
Les Marocains ont toujours réservé une place prépondérante aux chants religieux et mystiques. Entre le XVIe et le XIXe siècle, les confréries soufies ont grandement contribué à la préservation des nûba, les poèmes profanes de certaines d'entre elles ayant d'ailleurs été entièrement remplacés par des poèmes religieux. Lieux de sauvegarde, de transmission et de production poétique et musicale, ces cercles mystiques ont développé un large répertoire de louanges au prophète, les amdah, chantés lors des cérémonies soufies et à l'occasion du mawlîd qui célèbre chaque année l'anniversaire du prophète. Ces chants sont interprétés a cappella par des chantres solistes auxquels répond le choeur des fidèles sous forme de suites organisées par mode musical, un peu sur le modèle de la nûba mais selon un schéma plus libre.
Les poèmes sont des muwashshah, des zajal, des extraits de qasida en arabe classique ou des mawal en arabe dialectal.
Origine géographique
Maroc
Contexte de captation
Spectacle
Mots-clés
Support physique
fr
Document électronique
Couleur
fr
Couleur
Cote MCM
MCM_2012_MA_S1_PN1
Date du copyright
2012
Editeur
Sujet photographié
fr
Orchestre arabo-andalou de Fès
fr
Briouel, Mohamed
fr
Bois, Pierre